Trois jours après la victoire en trois sets en Coupe d'Europe, les Dauphines ont récidivé en demi-finale de la coupe nationale. Mais rien n'est fait, ni contre Séville ni contre Gand.
Comme mercredi, les volleyeuses carolos ont mis le pied dans la porte. Elles se retrouvent à deux sets maximum de la finale. Mais le plus difficile reste à faire. "On a fait un tout petit pas, résume le coach moncellois, Dimitri Piraux. Tant à Séville qu'à Gand, c'est le retour et l'éventuel golden set qui comptent. Il faut rester les pieds sur terre même si la semaine a été parfaite..."
Une prestation en dents de scie
Si Charleroi s'est imposé 3-0 samedi soir à Ballens, ce fut dans la douleur. Surtout dans les deux premiers sets durant lesquels les Gantoises ont hérité de plusieurs balles de set avant que les Dauphines émergent: 27-25 et 26-24. "On a manqué de constance avec trop de hauts et de bas. Heureusement, j'ai pu compter sur mon banc..."
Voilà qui met fin à un mois de novembre chargé mais négocié avec brio. "Nous sommes encore en course dans les trois compétitions, se félicite Dimitri Piraux. En Belgique, il n'y a qu'Asterix qui fait aussi bien..." Il reste à conclure positivement l'année, tant en Espagne qu'à Gand.