Les indicateurs du Biopark ont atteint des records historiques en 2021 en termes de transactions et de créations d’emplois. 2022 pourrait être également prometteuse.
Malgré les perturbations liées à la crise sanitaire, le Biopark affiche des records historiques en 2021. Pour rappel, le Biopark est un parc scientifique dédié à la biotechnologie, une spécificité par rapport à d’autres parcs.
Tout d’abord, le flux de transactions a atteint une valeur historique en 2021 : l’acquisition de Novasep par Thermofisher, l’accord de développement entre iTeos et GSK, … Aussi, 12 nouvelles entreprises font leur apparition dans le Biopark.
« Nous avons totalisé un investissement de plus d’1 milliard d’euros, contre 950 millions l’année dernière. Il y a 12 sociétés qui ont rejoint le Biopark, soit qui n’existaient pas avant, soit qui sont devenues membres du Biopark. Dans les sociétés créées, il y a plusieurs start-up dans la thérapie cellulaire en particulier », explique Bertrand Alexandre, CEO du Biopark de Gosselies.
Ensuite, l’emploi au sein du Biopark a enregistré une croissance de 20% : 3200 emplois au sein de l’écosystème et 300 nouveaux postes ouverts dans plus de 20 sociétés.
« Nous sommes passés de 2650 emplois, en 2021, à 3200. Ça représente une croissance très importante ! Dans l’industrie pharmaceutique, nous avons calculé qu’un nouvel emploi en générait 3 autres induits », explique Bertrand Alexandre, CEO du Biopark de Gosselies.
Cette nouvelle année s’annonce aussi prometteuse
Pour 2022, la priorité sera mise entre autres sur l’attraction de nouvelles entreprises, notamment internationale.
« 2022 va être encore une année de croissance, avec encore de nouvelles sociétés qui seront créées, et avec de nouveaux emplois. Une nouvelle usine va voir le jour, mais aussi un nouvel immeuble labos-bureaux. C’est donc une année qui s’annonce également prometteuse » conclut explique Bertrand Alexandre.
Apolline Putman