Ce 2 novembre marque la fin de la première période d’avis dans le cadre de la demande de révision du plan de secteur relative au projet Boucle du Hainaut. En parallèle à la procédure, Elia souhaite poursuivre les rencontres et les échanges avec les différentes parties prenantes, notamment avec les autorités communales, les citoyens, et les représentants du monde agricole.
Pour rappel, cette phase avait pour objectif de récolter les questions, remarques et propositions d’alternatives des citoyens (jusqu’au 12 octobre) et des autorités communales (jusqu’au 2 novembre).
Les informations ainsi récoltées seront analysées et traitées par un bureau d’étude indépendant désigné par la Région wallonne.
À l’instar de cette période d’avis, d’autres moments permettront encore la consultation des autorités communales et des citoyens, notamment via l’enquête publique qui suivra les conclusions du Rapport sur les Incidences Environnementales qui sera réalisé au cours des prochains mois.
La période d’avis en quelques chiffres
En parallèle à la procédure administrative et au cadre strict quant à la communication durant cette période d’avis, Elia a pris l’initiative d’autres communications :
- 26 présentations aux différentes autorités communales (conseils, collèges et CCATM) ;
- 11 permanences citoyennes avec plus de 230 citoyens contactés directement par nos collaborateurs ;
- 300 packs citoyens envoyés par courrier postal ;
- 500 personnes ont contacté le numéro gratuit 0800 ou la boite mail boucleduhainaut@elia.be ;
- 20.000 visites sur le site internet du projet www.boucleduhainaut.be ;
- 11.000 vues de la vidéo officielle de présentation du projet.
Elia veut poursuivre le dialogue
Bon nombre de questions et d’inquiétudes seront analysées dans le cadre du Rapport sur les Incidences Environnementales. Celui-ci fournira une analyse objective sur chaque thème. Elia a la volonté de poursuivre le dialogue et des contacts seront prochainement pris avec les groupes de riverains, les représentants du monde agricole et bien évidemment les autorités communales afin de discuter, de manière constructive, sur le fond du dossier et des prochaines étapes de celui-ci.
Pour rappel, l’ASBL Revolht, un comité de riverains rassemblant des citoyens de Pont-à-Celles, Seneffe ou encore Ath, s'est créé dans notre région pour dire non à ce projet.