Ce jeudi, c'était le coup d'envoi du fameux CEB pour les élèves de 6ème primaire. Cette épreuve certificative est toujours un moment particulier, pour les enfants mais également pour leurs parents et pour les enseignants, avec un niveau de stress assez variable. Nous avons pris la température ce matin à l'école communale de Ransart Bois, à la fin des premières étapes.
A l’école communale du Bois à Ransart, 28 élèves de 6ème année primaire ont entamé l’épreuve du CEB ce matin. Au menu du jour : les matières « Ecouter » et « Ecrire » et "Solides et Figures". Le CEB est toujours une étape plus ou moins stressante pour les élèves, mais aussi pour leurs parents et pour les enseignants. Dans cette école de Ransartoise, l’équipe pédagogique a fait le maximum pour aborder ce moment dans le calme et la confiance.
Après un long moment de concentration, les élèves terminent un à un l’épreuve du jour et remettent les livrets. Et pour Victoria, c’est un moment de soulagement : "j'étais très stressée. Mais j'ai bien travaillé sur d'anciens CEB lors de mes révisions, donc cela m'a quand-même rassuré", nous confie-t-elle.
Si l’angoisse du CEB prédomine, il y a néanmoins des exceptions. Nicolas est venu faire l’épreuve de ce matin avec un seul mot en tête : sérénité. "Je n'étais pas stressé. J'ai bien révisé donc je me suis dit que ça devait aller. Et aujourd'hui ça a été, on verra pour le étapes suivantes", précise Nicolas.
Après l’effort et la concentration, place à la détente dans la cour de de récréation, avant de continuer les révisions. Du côté des parents, la période du CEB est aussi une période préoccupante. En Fédération Wallonie-Bruxelles, ce sont près de 150.000 élèves qui ont débuté les épreuves certificatives ce jeudi matin (CEB, CE1D et CESS).
Christophe Baneton