Le recyparc de Farciennes, Aiseau-Presles et Châtelet ouvrait ce matin pour la première fois. Il aurait du être inauguré début mars, mais le confinement avait reporté son ouverture. C’est l’un des parcs les plus modernes de l’intercommunale de gestion de déchets carolo.
Un parc qui manquait
Ce nouveau recyparc, ce sont 10 000 m2 d’un parc moderne qui est le dernier né parmi le réseau de recyparcs de Tibi qui en compte quatorze. Et il vient bien compléter géographiquement ce réseau. La région de Farciennes-Aiseau-Presles et Châtelet manquait d’infrastructures.
« La position géographique de ce recyparc permet à de nombreux habitants de la région de s’y rendre sans devoir faire de longs trajets. Il est particulièrement bien implanté sur le site du nouvel écopôle. C’est une structure en fer à cheval, avec une structure en fer à cheval qui permet d’éviter des files de voitures et de faire sortir celles qui contreviendraient au règlement, sans que les véhicules se croisent. »
Le recyparc le plus moderne de Tibi
Et ce nouveau recyparc est aussi le plus moderne. Il a profité de toutes les réflexions et études sur ses prédécesseurs. Il permettra donc le tri de tous les déchets que l’on collecte sélectivement actuellement.
« C’est un recyparc dans lequel on pourra, à terme, déposer plus de vingt fractions différentes. A terme, l’ensemble des déchets pourront y être acceptés. Les travaux avaient débuté en janvier 2019, et le recyparc a coûté près d’un million sept cent milles euros dont 70% subsidiés par la Wallonie. Ca a demandé un travail conséquent en terme de réhabilitation des sols dans un premier temps. Puis, de génie civil. Mais le résultat est à la hauteur de nos espérances. »
Et à terme, après le confinement, on estime la fréquentation de ce recyparc entre 50 000 et 75 000 utilisateurs par an.