Ils sont de retour et fortement attendu par de nombreuses personnes, ce sont bien entendu les soldes d'été. Cette année, certaines enseignes marquent le coup avec déjà 40 à 50% de réduction. À Charleroi, les clients étaient au rendez-vous dès ce matin pour commencer à dénicher la perle rare à des prix avantageux, un plaisir pour les commerçants qui misent beaucoup sur les réductions afin de liquider le trop plein de marchandise.
C’est un jour que beaucoup de personnes attendent, le 01 juillet pour le début des vacances mais surtout pour le début des soldes. Une période de l’année immanquable si on veut faire de bonnes affaires et profiter de grandes marques a prix cassés. Et cette année, de nombreux commerces font déjà de gros pourcentages.
'"On a directement commencé à faire de belles réductions, explique Elise Maroquin, vendeuse de prêt-à-porter. La plupart des pièces sont déjà à 40 et 50%, on va attaquer fort car la saison n'a pas été super bonne. On attend vraiment 'avoir du monde cette semaine. Moi, j'ai beaucoup de stock et je veux liquider ma marchandise et je dois pouvoir payer mes facteurs et accueillir les nouveautés pour la prochaine saison.
Mais depuis quelques jours, des offres conjointes étaient faites dans la plupart des magasin afin d’attirer les premiers vacanciers qui ne pourraient pas bénéficier du début officiel des soldes.
"Lorsqu'on arrive à quelques jours des soldes, on est obligé de faire des offres conjointes mais les gens attendent quand même toujours le premier jour des soldes car il y a plus d'avantages", indique Damiano Crestani, gérant d'un magasin.
Les enseignes monteront crescendo dans les pourcentages en fonction stocks restant mais au contraire, si ça part vite les promotions ne s’élèveront pas
Et après deux ans de restrictions durant les soldes, les clients ne regardent plus à rien et profite du lèche vitrine.
"Après ce qu'on a vécu depuis deux ans, les gens se défoulent et ça fait du bien ! Tout le monde en avait besoin."
Cependant, les commerçants espèrent un bilan plus positif que celui qu’ils ont connus ces dernières années avec la crise sanitaire.
Clara Declercq