Dimanche dernier était un jour spécial pour la chorale « Les Baladins » de Fleurus : elle fêtait son 50ème anniversaire. Un anniversaire très attendu puisqu’il avait été reporté, covid oblige. Alors pour fêter ça dignement, les choristes ont évidemment chanté le temps d’un concert organisé au profit du Télévie à l’Eglise Saint-Pierre de Wanfercee-Baulet.
C’est évidemment en musique que les Baladins de Fleurus soufflent leurs 50 bougies. Pour l’occasion, les voix des choristes se sont unies à l’occasion d’un concert anniversaire.
« Nous fêtons les 50 ans de notre chorale. Elle est née en 1971, depuis cette année-là nous chantons un peu partout. Pour l’occasion, nous avons invité 2 chorales que nous aimons. Et cette année, nous avons décidé que ce concert serait au profit du Télévie qui en a bien besoin », explique Roland Thomas, président de la chorale Les Baladins.
Les choristes font découvrir des chants qui ont marqué l’histoire des Baladins mais aussi de nouvelles pièces de leur répertoire.
L’histoire commence en 1971
Cet anniversaire, c’est aussi un hommage à Michel Lion, le fondateur de cette chorale. C’est le moment idéal pour se remémorer les débuts de l’histoire des Baladins.
« Jeunes mariés, nous sommes arrivés à Fleurus. Nous avions été tous les 2 dans des mouvements de chorale auparavant. Finalement, je lui ai donné l’idée de fonder sa propre chorale. On a eu notre réunion en 1971, et la chorale était née », se souvient Marguerite Lion, épouse du fondateur de la chorale.
« J’ai grandi avec la chorale, je me souviens que je jouais pendant les répétitions. Ensuite, je suis devenue à mon tour choriste », ajoute sa fille.
Fierté, bonheur et émotions
Un concert empreint d’émotions, de souvenirs et de fierté pour certains qui font partie de cette grande famille depuis plus de 30 ans.
« C’est incroyable une chorale qui a 50 ans ! C’est magnifique », se réjouit Marie-Therese, choriste.
50 ans, et ce n’est pas fini. La chorale semble encore avoir de beaux jours devant elle pour le plus grand bonheur de ses membres et des spectateurs.
Apolline Putman