Pour la huitième édition du "Champion of Wrestling", les meilleurs catcheurs de Belgique et d'ailleurs se sont donnés rendez-vous pour se disputer les ceintures. L'occasion de découvrir un sport souvent critiqué.
Le centre Foucault était le théâtre de la huitième édition de ce gala. Un show unique en son genre assuré du début à la fin.
"C'est un grand spectacle ! Une pièce de théâtre avec des combats comme à la boxe, sauf qu'on ne se frappe pas !" explique Antonio le Gigolo, organisateur et catcheur.
Du jeté par dessus la troisième corde au coup de la corde à linge, toutes les figures sont réalisées et millimétrées. Pourtant, le catch n'est pas reconnu à sa juste valeur.
"Tout ce que les catcheurs font dans le ring, c'est très physique et ça demande beaucoup d'entraînements. Si les gens essayent de faire les figures, ils peuvent gravement blesser leurs partenaires." ajoute le Gigolo.
De l'ambiance et de l'interaction
Un vrai sport mêlé au show qui anime les spectateurs dans une véritable ambiance.
"J'aime les figures réalisées. On sent vraiment beaucoup de sensations, on a des palpitations quand on vient voir les combats. Il y a aussi des interactions avec le public, c'est ce qui fait la force du catch !" raconte un spectateur.
Sacha Benazzi.