Les frites, un repas dont aucun Belge ne se lasse. La pomme de terre revisitée est mise à l’honneur toute cette semaine en Wallonie à l’occasion de la semaine de la frite. À Charleroi, une enseigne en particulier est victime d’une success-story, Fritapapa ne cesse d’accroître depuis sa création, en 2016.
Ah les frites, il faudrait bien plus qu’une semaine pour les mettre à l’honneur. Qu’elles soient accompagnées de mayo ou de ketchup, c’est le repas incontournable. Pour un Belge sur cinq, aller manger à la friterie est même un rituel hebdomadaire. Et les créateurs de l’enseigne carolo Fritapapa l’ont bien compris en proposant des produits de qualité supérieure.
" On a voulu créer un beau point de vente dans le style d’un restaurant, mais tout en gardant le concept de la friterie traditionnelle, indique Pierre Artuso, co-fondateur de Fitapapa. Nous avons créé notre premier point de vente il y a 8 ans, à Marcinelle, mais nous ne pensions pas ouvrir d’autres enseignes. "
Et pourtant, les deux associés vont rapidement créer une enseigne multi-sites en s’installant à Nalinnes, Lodelinsart, Châtelet, Montigny-le-Tilleul et même à l’aéroport de Charleroi.
" Lorsque les Belges reviennent de vacances, ils pensent qu’à manger des frites quand ils sont de retour en Belgique, confie le co-fondateur. De plus, les touristes sont friands des frites donc pour nous, l’aéroport était un lieu idéal pour Fritapapa. Nous sommes actuellement à 17 points de vente et nous aimerions en ouvrir deux supplémentaires d’ici à la fin de l’année à Beauvechain et à Wavre. "
L’image de l’enseigne se veut familiale, d’où le nom Fritapapa qui fait référence aux différents rôles de la famille.
" On a trouvé que c’était un prénom facile à retenir, car il y a les noms communs frite et papa, raconte Pierre Artuso. On tourne donc tout nos produits en lien avec la famille que ce soit pour les burgers ou nos bières également. "
La bière et la frite sont donc incontournables en Belgique pour une soirée 100% réussie.
Clara Declercq.
